Julie Vanloo, la meneuse belge de 31 ans originaire d’Ostende, vit une saison rookie plutôt sympa avec les Washington Mystics. Son parcours atypique, marqué par une carrière professionnelle en Europe et des participations remarquées au sein des merveilleuses Belgian Cats, lui ont permis d’apporter une expérience précieuse à son équipe. En rejoignant la capitale américaine, JVL devient la sixième joueuse belge à intégrer la WNBA.
Julie Vanloo a ainsi fait ses débuts remarqués dans la plus belle ligue du monde avec un panier au buzzer du milieu de terrain, face au New York Liberty, soulignant ainsi son potentiel et son impact immédiat au sein des Mystics. En dépit d’un début de saison difficile pour Washington avec une série de 12 défaites, Vanloo a su se distinguer et apporter un peu de bonheur aux spectateurs de l’Entertainment and Sports Arena.
Julie n’a peur de de rien ni de personne et a su répondre présent dès ses premières minutes sur le parquet, d’autant plus quand il a fallu rapidement prendre la place de Brittney Sykes, blessée très tôt dans la saison. Julie Vanloo a commencé 11 matchs pour les Mystics, avec une moyenne de 8,4 points et 5,4 passes décisives par match. Son tir à trois points s’est particulièrement amélioré, atteignant un taux de réussite de 44% sur les quatre derniers matchs et 34,6% sur la saison.
Son expérience et sa maturité ont été des atouts majeurs pour une équipe en pleine reconstruction. Parce que oui, ne nous en cachons pas, ça tanke un peu beaucoup du côté des Mystics mais ça n’empêche pas Julie de s’éclater sur le terrain, de jouer sans complexe en menant tout son petit monde à la baguette, ce qu’elle sait faire de mieux finalement. Elle en a même profité pour aller se frotter et irriter la sensation de la ligue cette saison, Caitlin Clark herself.
Si l’un des moments clés de sa saison a été la première victoire des Mystics, où Julie Vanloo a joué un rôle déterminant, on est surtout heureux de voir qu’elle continue à évoluer au fil des matchs. Elle a montré une excellente capacité à s’adapter rapidement au rythme et aux exigences de la WNBA.
Les Mystics sont donc en phase de reconstruction, mais, avec des joueuses comme Vanloo et Aaliyah Edwards, l’avenir semble prometteur. Vanloo, avec son expérience internationale et son leadership inné, pourrait jouer un vrai rôle dans le redressement de l’équipe. Et son duo avec la rookie d’Uconn plaît au pays de l’Oncle Sam, au point que certains insiders WNBA leur dédient des vidéos de presque 15 minutes.
Julie Vanloo s’impose donc comme une joueuse clé pour les Washington Mystics dans sa première saison en WNBA. Son parcours, bien que différent de celui des rookies traditionnelles, a montré qu’elle pouvait apporter une valeur ajoutée significative à son équipe. Sa capacité à performer sous pression et à s’adapter rapidement augure de bonnes choses pour l’avenir des Mystics.
Enfin, ce qui ne gâche rien, c’est que les Cats vont récupérer dès à présent une JVL en pleine forme et dans une confiance… olympique 😎