Swin Cash

« Dans le jeu de la vie, les choses semblent parfois se compliquer à mesure que nous avançons. Peut-être perdrons-nous quelques quart-temps, mais notre espoir est de gagner le match. » C’est sur ces mots que s’ouvre l’autobiographie de la double championne NCAA, double championne olympique, et triple championne WNBA Swin Cash. Mais pas uniquement. L’autobiographie, aussi, de Swin Cash la femme d’affaires et d’action. Swin Cash, la philanthrope. Swin Cash, la joueuse qui s’est engagée avec la même ferveur partout où sa carrière l’a menée, de sa Pennsylvanie natale aux provinces reculées de la Chine. Bref, toutes les caractéristiques qui viennent compléter l’autre face de la légende.

 Connais-toi toi-même, dit l’adage. En réalité, il n’aurait sans doute pas été possible à SC de mieux commencer son autobiographie que par la métaphore qu’elle déploie en guise d’incipit, assimilant la vie à un match de basket. Car c’est bien là que réside le talent de Swin Cash : s’être illustrée aussi bien sur les terrains qu’en dehors, et avoir su, par cette formidable alliance, sublimer tous les enseignements du basket en leçons de vie, pour que la vie elle-même se change en l’un de ces matchs dont il n’est d’autre choix que de sortir victorieux.

Pre-Game

Quand elle rédige son autobiographie, Swin Cash fait le choix de ne la faire porter que sur quatre années de sa vie, les années 2008 à 2012. Plus tôt dans sa vie, elle a grandi avec sa mère en Pennsylvanie, avant de partir en direction de l’Université du Connecticut, où elle a remporté deux titres de championne NCAA, et d’être choisie en deuxième position de la Draft 2002 par le Shook de Détroit, après sa coéquipière Sue Bird. Dès son arrivée à Detroit, Swin marque la franchise de son empreinte, et la mène même au titre WNBA en 2003, un an seulement après avoir fait son entrée dans la ligue. Mais pour Swin, tout ça n’était qu’un échauffement, et c’est quand les premières difficultés font surface que le match commence vraiment. Il faut donc faire un saut de cinq ans en avant si l’on souhaite véritablement connaître la joueuse et la personne qu’est Swin Cash.

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First quarter

Dernière danse à Détroit

Tout part de l’année 2008, dans les rangs du Shock de Detroit. Swin Cash est alors capitaine de l’équipe de Bill Laimbeer, l’ancien bad boy des Pistons reconverti en coach WNBA. Mais ce statut devient de plus en plus difficile à porter pour Swin, qui en plus d’être limitée physiquement par des douleurs au dos, peine à trouver sa place dans une organisation et un effectif dont elle ne perçoit plus la bienveillance. « Mon corps avait changé. Mon jeu avait changé. L’équipe avait changé. […] Imaginez jouer au basket avec un manteau de cinquante kilos sur le dos et une myriade de pensées qui vous occupent l’esprit… » : c’est ainsi qu’elle décrit le début d’une saison qu’elle pressent compliquée.

Mais impossible pour elle, à ce stade, d’imaginer ce qui l’attend véritablement. En effet, quelques jours à peine après avoir décidé de passer un IRM de routine pour déterminer la cause de ses douleurs au dos, Swin reçoit un appel de son médecin. Ce dernier lui annonce qu’une tumeur cancéreuse a été repérée au niveau de son rein et qu’elle devra lui être retirée à la fin de la saison. Swin est alors frappée par un sentiment d’impuissance et de désemparement indescriptible. Elle écrit : « Mon esprit n’était plus qu’un tourbillon de questions, de pensées et de souvenirs : de souvenirs de ma tante, qui était morte d’un cancer, de pensées quant au fait qu’il y avait eu plusieurs cas de cancer dans ma famille, et de questions sur ce qui allait m’arriver. »

En dépit de tout cela, Swin décide de retourner à l’entraînement et de ne parler de ses problèmes de santé à personne. Seul son coach est au courant, ce qui rend la situation extrêmement délicate. Les médias, qui remarquent que ses contributions sur le terrain se font de plus en plus modestes, spéculent sur les causes de cette baisse de régime, et les rumeurs ne manquent pas de fuser. On lit dans la presse que Swin détesterait Bill Laimbeer, et que c’est sans doute ce qui expliquerait ses performances moins convaincantes. Bill Laimbeer lui même n’envoie sans doute pas les bons signaux, à l’image, par exemple, du jour où il décide de ne pas faire entrer Swin en jeu lors du deuxième match des finales de la conférence est. Le lendemain, Swin tombe sur des journaux suggérant que ce serait du fait d’un manque d’investissement que le coach du Shock aurait pris la décision de ne pas lui faire quitter le banc… La pilule a logiquement du mal à passer.

En plus de tout cela, SC continue à jouer avec l’hernie discale en raison de laquelle elle s’était rendue chez le médecin en premier lieu. Car en dépit des rumeurs et des difficultés, elle se donne le no excuses des champions comme unique ligne de conduite : elle sait qu’elle doit aider son équipe coute que coute. Et pour cause : au terme de la saison 2008, le Shock réussit à se hisser jusqu’à un Game 5 des finales que l’équipe joue à domicile face au Mercury. Mais devant près de 20 000 fans qui n’attendaient que la consécration, le Shock s’incline tristement de 19 points face à Phoenix. Quand Swin se tourne vers la foule pour la saluer, elle sait que c’est là un geste d’adieu. Difficultés sportives, relations tendues dans les vestiaires et avec le coach, elle sent qu’elle a fait son temps à Détroit : « Je savais bien que c’était la dernière fois que je portais un maillot du Shock. Detroit m’avait beaucoup apporté, mais il était temps pour moi de suivre ma propre route »

Go west, young girl

Mais si c’est bien Swin qui demande le transfert, le choix de l’équipe où elle atterrira ne lui revient pas. Résultat, lorsqu’elle apprend qu’elle est envoyée à l’autre bout du pays, dans les rangs du Seattle Storm, la nouvelle a pour elle un goût amer. En effet, si elle se réjouit à l’idée de retrouver Sue Bird, sa coéquipière d’UConn, Tanisha Wright, son amie de longue date, et de pouvoir jouer avec la star Lauren Jackson à Seattle, Swin regrette de devoir quitter la côte est où réside l’ensemble de sa famille.

Mais malgré le choc initial, elle accepte rapidement la nouvelle et se concentre sur son objectif véritable : les Jeux Olympiques. En effet, à peine a-t-elle subi l’intervention requise pour lui retirer sa tumeur que Swin s’empresse, une fois encore, de revenir sur les terrains. Les tests de sélection pour les Jeux Olympiques approchent et elle ne veut rater cette opportunité pour rien au monde. Elle décide ainsi de faire l’impasse sur des contrats qu’on lui propose à l’étranger et de rester aux États-Unis pour maximiser ses chances de faire partie de la Team USA. De même, elle prend la décision de ne pas se faire opérer du dos pour ne pas compromettre ses chances de jouer, et de compter sur médicaments et injections pour rendre la douleur supportable. La marque distinctive de Swin Cash, c’est sans doute cette forme de résistance à toute épreuve : un mélange de cœur, de courage et de détermination sur fond de just keep going. Mais les douleurs ne disparaissent pas. Lors des déplacements du Storm, il n’est d’ailleurs pas rare qu’elle reste debout au fond de l’avion pendant tout le trajet car demeurer trop longtemps assise lui est devenu tout simplement insupportable.

Et pourtant, malgré tous ces sacrifices, le succès n’est pas au rendez-vous. Swin voit en effet ses rêves olympiques partir en fumée quand Carol Callan, la directrice d’USA Basketball, l’appelle et lui annonce quelques minutes avant un entraînement du Storm qu’elle n’a pas été retenue parmi les douze joueuses qui iront aux Jeux Olympiques. Résultat, Swin a bien sûr la tête ailleurs pendant tout cet entraînement. Une fois encore, elle souhaite garder la nouvelle pour elle, mais les larmes qui coulent sur ses joues trahissent son désarroi auprès de ses coéquipières. Sheryl Swoopes et Sue Bird cherchent tour à tour à la réconforter, mais Swin est inconsolable, et l’éloignement de sa famille rend pour elle la nouvelle encore plus difficile à accepter. « Les jours suivants, je suis restée allongée à pleurer sur le canapé de mon appartement de Seattle. Je pleurais toute la journée, et personne n’était là pour me réconforter », écrit Swin. « Imaginez un ballon de basket gonflé au maximum, puis imaginez qu’on le crêve avec un couteau et qu’il explose. C’est comme ça que je me suis sentie. Tous mes espoirs pour cette année s’étaient envolés. Toutes les douleurs que j’avais supportées semblaient avoir été en vain. J’était brisée dans tous les sens du mot. »

Second quarter

De New-York au All-Star Game : if you make it here, you can make it anywhere

Mais ce n’était qu’un quart-temps de perdu. Malgré la déception, Swin réussit en effet à rebondir, et se prépare à disputer le quart-temps suivant. Alors que la team USA s’envole pour les Jeux Olympiques de Pékin, Swin elle, rejoint New-York, où on lui propose un poste de commentatrice des Jeux Olympiques pour la chaîne NBC Sports. Ce voyage l’aide non seulement à envisager ce à quoi pourra ressembler sa vie une fois sa carrière terminée, mais aussi à reprendre des forces mentales pour espérer repartir de plus belle sur les terrains. En effet, au cours de son séjour, elle fait la rencontre décisive de Teresa Edwards, la légende de Team USA aux cinq médailles olympiques, qui lui donne de précieux conseils et l’invite à ne pas abandonner ses rêves. C’est suite à cette rencontre que Swin se promet d’inverser la tendance et de faire tout son possible pour faire son grand retour dans l’équipe olympique de 2012… Pas de meilleur endroit que la City of Dreams pour reprendre espoir.

C’est donc avec un nouvel état d’esprit et de nouveaux objectifs que Swin reprend le chemin de Seattle. Le Storm finit la saison 2008 en deuxième position de la conférence ouest. Mais suite à une bataille acharnée en trois matchs face à leurs rivales des Sparks, les joueuses du Storm, affaiblies par l’absence de Lauren Jackson, blesssée à la fin de la saison régulière, s’inclinent finalement face à LA.

Pendant la off-saison, Swin prend conscience du fait qu’elle a déjà poussé son corps plus qu’au-delà de ses limites. En mars 2009, deux ans après avoir ressenti ses premières douleurs au dos, elle décide donc d’enfin se faire opérer. Les médecins lui annoncent un temps de rééducation de 4 à 6 mois, mais Swin est résolue à ne pas manquer un seul match de la saison WNBA qui commence en juin. Le 3 juin, après trois mois de travail acharné aux côtés d’Andrea Hudy et Lee Perkins, les préparateurs physiques de l’Université du Connecticut, qui l’avaient déjà aidée lors de son passage chez les Huskies, Swin rentre à Seattle en étant apte à jouer. Cette saison marque le début d’une nouvelle ère pour Swin, qui fait un retour plus que remarqué sur les terrains. Sélectionnée pour participer au All-Star Game, elle est même nommée MVP du match, quatre mois à peine après son opération du dos. Comme un clin d’œil de l’univers, le match se joue dans le Connecticut, et Swin ne peut contenir son émotion quand elle reçoit son trophée devant ce public qu’elle connaît si bien… There’s no place like home.

Perfected in China

En bonne santé pour la première fois depuis plusieurs années, Swin comprend qu’elle ne peut plus soumettre son corps au rythme infernal des saisons qui, entre la WNBA et l’étranger, se succèdent toute l’année : « il fallait que je trouve une solution pour continuer à progresser sans astreindre mon corps à une si longue saison », écrit-elle. Et c’est à des miliers de kilomètres de chez elle, en Chine, où le championnat ne dure que trois à quatre mois, que Swin trouve cette solution. À Guangzhou, Swin fait bien sûr l’expérience d’un certain choc culturel : seule américaine de l’équipe du fait des règles de la fédération chinoise, elle ne peut parler anglais qu’avec le traducteur qu’on lui attribue. Elle ne peut ni tweeter ni surfer à sa guise sur internet, deux de ses activités préférées. Elle découvre également combien les déplacements — souvent de longs trajets en bus sur de petites routes étroites suivis de vols tout aussi longs — sont éprouvants.

Et pourtant, Swin se plait en Chine, et s’y sent presque chez elle. Quand elle se balade dans les rues de Hong-Kong, elle croit être à New-York. De même, ses coéquipières deviennent rapidement ses Chinese sisters. Swin se reconnaît en effet dans leurs origines modestes et dans leur ambition de s’élever socialement grâce au basket pour aider leurs familles. Elle écrit : « Nous étions séparées par notre couleur de peau, notre pays d’origine et notre culture, mais unies par l’amour, le respect, et le basket. […] Pour moi, aider mes coéquipières à atteindre leurs objectifs pour qu’elles puissent aider leurs familles, c’était comme aider ma propre famille. »

De retour à Seattle

Grâce à son passage en Chine, Swin rentre donc à Seattle avec les idées claires. Dès qu’elle recommence à s’entraîner avec le Storm, elle sent que l’atmosphère a changé et que tous les éléments sont désormais réunis pour faire de la saison 2010 une saison d’anthologie. Lauren Jackson est de retour, et Sue et Swin retrouvent également Svetlana Abrosimova, leur copéquipière d’UConn qui, fait son entrée dans les rangs du Storm et devient rapidement un élément décisif en sortie de banc.

Comme l’avait prédit Swin, cette saison est celle de tous les records pour le Storm, qui termine avec le plus haut pourcentage de victoires, tous sports confondus, dans l’histoire de l’Emerald City. Seattle remporte le titre WNBA en n’ayant pas perdu un seul match à domicile de la saison. Swin le résume en trois phrases : « We came. We saw. We conquered. » Par ailleurs, grâce à cette victoire, Swin devient la deuxième joueuse à avoir gagné un titre à la fois dans la conférence est et dans la conférence ouest, et la première joueuse à avoir fait partie du cinq majeur dans les deux équipes. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, elle apprend par la suite qu’elle a été sélectionnée pour participer aux Championnats du monde avec Team USA. Ce ne sont pas encore les JO, certes, mais Swin voit en cette étape un premier pas important : SC is (on her way) back.

Third quarter

Après une nouvelle saison passée en Chine, Swin rentre aux États-Unis en février 2011. Elle s’affirme alors sur tous les terrains : à travers « Cash for Kids » notamment, la fondation qu’elle a créée pour permettre aux jeunes de sa ville natale et des villes où elle a joué de prendre part à des tournois de basket et à des camps d’été, mais aussi « Cash Building Blocks », une entreprise créée en partenariat avec sa mère dans le but d’acheter des maisons demandant à être rénovées, puis de les remettre en état et de les louer ou les vendre à des familles modestes.

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Mais si Swin se comporte en vraie MVP hors des terrains, elle n’en fait pas moins sur les parquets une fois que reprend la saison WNBA. En 2011, elle obtient pour la deuxième fois le titre de MVP du All-Star Game. Elle n’est que la deuxième joueuse, après Lisa Leslie, à réussir cet exploit.

Puis vient la off-saison qui, bien sûr, n’en est pas une pour Swin puisque les Jeux Olympiques se profilent. En octobre, un tournoi d’entraînement est organisé par Team USA en Italie. En arrivant, Swin se rend compte que seulement sept joueuses — Tina Charles, Asjha Jones, Sophia Young, Cappie Pondexter, Renee Montgomery, Britney Griner, Dani Robinson, et elle — ont fait le déplacement. Les matchs amicaux face aux équipes européennes s’annoncent plus compliqués que prévus… team USA perd trois de ses matchs, et le moral de l’équipe commence à flancher. C’est alors que Swin décide de prendre les choses en main et d’être la force positive dont l’équipe a besoin. Elle écrit : « Je me suis dit que c’était mon rôle de rester positive en dépit des circonstances. C’était à moi d’aider mes coéquipières à rester motivées et à voir les choses sous un nouvel angle. »

Fourth quarter

Le premier janvier 2012, Swin apprend que le Storm a pris la décision de la transférer au Chicago Sky. Une fois encore, cet appel vient bouleverser le cours de son existence. Si quatre ans auparavant, Swin aurait sans doute préféré le Sky, équipe de la conférence est, au Storm, elle quitte désormais Seattle à contre-coeur : « J’avais pris mes marques à Seattle et après y avoir passé quatre ans je me sentais bien dans la ville, je m’entendais bien avec mes coéquipières, la direction de l’équipe, et ceux que j’avais baptisés mes Storm Crazies. Seattle était devenue « ma communauté » ».

 Mais quelques mois plus tard, elle reçoit un autre de ces appels fatitidiques. Après l’appel qui lui avait annoncé son cancer, celui qui lui avait annoncé son transfert au Storm, puis plus récemment celui qui lui avait fait part de son transfert au Sky, Swin reçoit finalement une bonne nouvelle au bout de la ligne, puisque Renee Brown, la vice-présidente de la WNBA de l’époque, aussi membre du comité de sélection olympique américain, lui annonce qu’elle a été retenue parmi les douze joueuses qui partiront à Londres. Comme lorsqu’elle avait remporté son premier titre de MVP du All Star Game après avoir été évincée de l’équipe de 2008, Swin ne peut retenir son émotion au téléphone : « Il n’y a plus eu un bruit. Ma gorge s’est nouée et les larmes ont commencé à couler sur mon visage. J’essayais de parler mais aucun son ne sortait. » Et l’histoire se répète, puisque comme en 2009 où le All Star Game avait eu lieu dans le Connecticut, il est décidé que le premier camp d’entraînement d’USA Basketball aura lieu à Seattle. Swin y voit un autre clin d’œil du destin, qui lui permet de jouer une fois encore sur les parquets de la Key Arena et de retrouver ses Storm Crazies : « j’avais offert de mon temps, de mon talent et de ma personne à la ville de Seattle […], donc revenir m’a fait chaud au cœur ».

Une fois à Londres, Swin profite pleinement de sa dernière expérience olympique. Elle aura réussi son pari : se hisser une dernière fois jusqu’au sommet, pour ensuite quitter USA Basketball selon ses propres termes. Elle aura vécu une dernière campagne olympique avec ses coéquipières et amies : « J’adorais mes coéquipières. Il est rare d’avoir la chance de faire partie d’une équipe aussi drôle, posée, et folle que la notre », écrit-elle. Mais surtout, elle aura entendu une dernière fois l’hymne américain depuis la plus haute marche du podium, l’or autour du coup. Son objectif atteint, Swin se remémore avec émotion tout le chemin parcouru au cours de ce court intervalle de quatre ans.

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#onelove #missioncomplete #blessed

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Overtime

Depuis 2012, Swin Cash ne s’est pas arrêtée. Elle a beau avoir mis fin à sa carrière de basketteuse en 2016, elle continue, depuis, à être « la femme d’affaire, la philanthrope et la championne » qu’elle a toujours souhaité être. De son travail de commentatrice sportive à son rôle de membre du front office des New Orleans Pelicans en passant par ses oeuvres caritatives et son rôle de mère, Swin Cash continue à être une MVP sur les terrains comme dans la vie.

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Surtout, elle continue d’être un modèle de travail, de courage et d’abnégation pour tous les membres des teams #SC et #wegrindin (team #onnesarrêtepas) auxquelles elle a donné naissance et à inspirer tous ceux qui croisent son chemin :

« Souvent, les gens rencontrent des difficultés dans la vie et font le choix d’y faire face en privé. J’étais une de ces personnes, jusque au jour où j’ai pris conscience du fait que mon histoire, mon parcours, ne me concernaient pas seulement moi. C’était pour moi une opportunité de partager mon histoire, mes pensées, ma chute et mon ascension de 2008 à 2012. Ce livre n’est pas toute mon histoire. Je dirais que c’est un petit aperçu de ma vie et de ma vérité. […] J’espère qu’il vous inspirera à trouver la force de grandir et de changer les choses en vous-mêmes et dans le monde. »

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